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 Only for a night (Ethan)

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AVATAR : Nicolas Simoes
PSEUDO : Styx.
MESSAGES : 117
ARRIVEE : 25/02/2016
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Cosmos Calderon
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MessageSujet: Only for a night (Ethan)   Only for a night (Ethan) EmptySam 27 Fév - 4:32

ONLY FOR A NIGHT
Ethan and Cosmos

A NEW GAME ✻✻✻ La fine couverture noire qui glisse dans cette paume habile. Cosmos, il lit. L'homme parcourt les rayons de ses pas légers qui frôlent le sol. Il y a de la poussière qui s'envole quoi qu'il fasse quoi qu'il bouge, les particules s'élèvent vers le plafond orné de lumières, ça doit sûrement vouloir rejoindre le ciel même si toujours ça retombe, poussière prisonnière. Ça serait bien que quelqu'un nettoie tout ça. Mais ça ne sera pas le Calderon, il est trop occupé par sa lecture fastidieuse, les mots qu'il déchiffre étrangement l’absorbent, on en oublie momentanément les monstres et la galère de la vie, on repousse les problèmes à l'aide de ces phrases qui instruisent, sortilèges écrits et potions expliqués, il suffisait juste de choisir, faire son choix dans cette océan d’élixir et de rimes qu'ensorcellent. Le doigt caresse l'encre absorbée, on trouve enfin ce qu'on recherche, les yeux qui s'illuminent, les lèvres qui s’étirent dans un semblant de sourire, on traduit la langue étrangère en quelques clignements d’œil, ingrédients étranges, sombres et rouges. Ça sonne un peu interdit, c'est la raison qui te le dit. Ça parle de sang et de cœur, de veuves et de vierges, une lame argentée qui court sur la peau. Frissons sur l'échine, on s'y imagine déjà, puis c'est comme un souvenir d'une expérience passée, petits organes en bocal. Stylo qui sort, on prend des notes que l'on range tout comme le livre qui maintenant nous encombre, cette sorcellerie se fera un jour, avenir incertain, ça ne sera peut-être pas demain.
Soupire, l’ennui le caresse, la bête s'infiltre dans les tréfonds de l'âme, elle appelle à la distraction , peu importe ce que c'est, il lui faut quelque chose pour ne pas penser au vide que dégage le cœur. C'est de plus en plus comme ça, il faut s'occuper jamais respirer. Les activités, on les enchaîne les unes après les autres pour se réfugier, se cacher des trucs qui pourraient bien nous torturer. On fouille l'esprit, on fouille l'espace, faut trouver quelque chose à faire. Le regard se pose sur le jeune homme, le fils de Jeunesse se fait érudit et lecteur. Braise en silence. Le Ténébreux, l'homme que difficilement on approche, Cosmos esquisse un jeu dangereux dans sa caboche. Celui qu'il préfère, il va jouer des cœurs, se faire annonciateur de désir, provocateur à plaisir. Sur la braise, l'étincelle et un peu d'huile. Cosmos s'approche en silence, puis soudainement se pose à côté de l'étranger familier. L'iris crépite, les flammes dansent en son sein. « Alors, qu'est-ce que tu fais de beau ? » Éclats d'étoiles qui se répandent aux oreilles de l'occupé, c'est doux et chaleureux, lumineux. Sans permission, les mains vont chercher l'information elles-mêmes, livre que l'on arrache dans une brise légère, on effleure la peau de l'autre, comme si ce n'était point fait exprès. Il tourne les pages, curieux de ce qu'on pouvait bien y apprendre. « Cette lecture m'a l'air... séduisante » l’œil ne fixe déjà plus le bouquin, mais son ancien propriétaire, ça sera à l'autre de deviner la cible de l'adjectif. Prémisse d'une toile que l'on tisse, le sourire s’agrandit avant de retourner à une lecture plus lente. Silence. Il veut juste semer le trouble, faire en sorte que chez Ethan, il y est quelque chose qui tremble.

✻✻✻
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MessageSujet: Re: Only for a night (Ethan)   Only for a night (Ethan) EmptySam 27 Fév - 15:41

Cosmos & Ethan
“ Je suis embarrassé. ”
C
e livre était ennuyeux. Tu le lisais depuis déjà une demi-heure, et tu n'en étais qu'à la cinquantième page. En fait, tu ne savais même pas de quoi ça parlait. Tu pensais à autre chose. Quelque chose de plus important. Ta virginité. En général, tu n'y prêtais pas vraiment attention, mais là tu le devais. Tu repensais au centaure qui t'avais attaqué, avec Olya. Olya... quelle gourde, quand même. Bref. Bizarrement, ces temps-ci tu ne tombais que sur des centaures. Et c'était bien connu que ces monstres préféraient la chair d'humain vierge au petit-déjeuner. Pour une fois, tu t'emmerdais toi-même. Sérieusement, tu n'étais pas Artémis, alors pourquoi attendre d'être avec quelqu'un et de le vouloir ? Enfin, le vouloir, le Sud le voulait tout le temps. T'avais vingt-quatre ans, aussi. Et puis, de nos jours, faire l'amour ne voulait plus rien dire. Autant coucher avec quelqu'un et basta.

Sauf que tu n'étais pas comme ça. Tu étais tellement vieux jeu, tellement insensible, tellement Ethan qu'il te serait sans doute impossible de coucher avec quelqu'un pour ne plus être la cible des centaures. Et puis, d'un côté tu l'aimais bien, ta virginité. Avec elle, tu avais l'impression d'être un peu plus protégé. Protégé du monde. Ironie ultime vu que c'était elle qui avait failli te faire tuer plus d'une fois. Mais elle restait une barrière, une barre qui maintenant ta carapace en place. Tu aimais être vierge. C'était tout ce qu'il te restait d'innocent.

Une voix te sortit de tes pensées. Un sursaut. Ta tête se tourna vers l'origine du bruit, et tu le vis lui. Cosmos, fils d'Aphrodite. Cette... fils d'Aphrodite, quoi. Sa question arriva jusqu'à ton cerveau, alors que tes yeux fixaient les siens, gris-bleu, bleu-gris. Quelque chose s'activa en toi, le genre de flamme dans l'estomac ou dans le cœur, que tu as parfois avec Olya. Cette flamme-là était plus puissante. En fils d'Aphrodite, Cosmos se devait de séduire. Et tu avais beau tenter d'étouffer les flammes, elles reprenaient de plus belle. Il essayait de te séduire. Ce que tu faisais de beau ? « Je tue des moutons. Tu aurais aimé dire. »

« Je te regarde. Tu as lâché, la voix basse. »

Aussitôt, tes sourcils se sont froncés. Tu voulais être sarcastique, pas honnête ! Et encore moins honnête à ce point. Surtout quand ta voix menaçait de devenir rauque, voire même de trembler. Malgré tout, il fallait dire que sa voix et ses yeux t'avaient perturbé. Cosmos était beau, et bien que tu te sois toi-même jugé hétérosexuel, tu n'as jamais tout goûté. Il t'arrivait parfois de ressentir quelque chose face à des hommes, mais c'était plus de la jalousie que du désir. Pourtant, avec lui... tu n'étais pas indifférent. Pas du tout.

Ses mains frôlaient les tiennes. Attrapaient doucement le livre, alors que tu étais parcouru d'un frisson. Tu as déglutis et détourné le regard, comme si ça pouvait te sauver de l'emprise qu'avait Cosmos sur toi. Inconsciemment, tu respirais fort. Pour calmer ton cœur. Il battait trop vite, et les simples flammes étaient devenues un incendie. Sa voix, de nouveau. Tu devrais te boucher les oreilles. Cosmos était comme une sirène, en plus redoutable. Parce qu'il pouvait aller aussi bien sur l'eau, que sur la terre.

Lecture séduisante ? Tu hochais la tête, sans même comprendre. La tentation était trop forte. Tes yeux se reposèrent sur lui, sur son corps. Tu devais partir. Les enfants d'Aphrodite voulaient juste séduire et assouvir leurs fantasmes, une voix dans ta tête te le répétait. Tu devais partir. Alors tu t'étais levé, rapidement, maladroitement. La chaise était tombée. Tu as rougis, baissé les yeux, tu l'as ramassé et remise en place.

Tu étais dos à lui. Et pourtant, tu la sentais, cette présence. Ce désir. Comme s'il était là, devant toi. Tes doigts se sont serrés autour du bois de la chaise, et tu l'as lâché. Tu t'es lentement tourné vers Cosmos, puis tu as croisé les bras. Comme une sorte de protection inutile. Tu as inspiré.

« Tu voulais quoi, à part venir me faire chier ? Tu demandais, la voix tremblante. »

Tu pouvais être sarcastique, méchant voire même sadique dans tes paroles. Tu le pouvais, mais ça te faisait mal. Comme si on plantait un couteau dans ton cœur. Les larmes te seraient rapidement montées aux yeux, si tu ne savais pas qu'une fois parti de la pièce, tout redeviendrait normal. C'était juste l'effet Aphrodite. L'effet Cosmos.

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MessageSujet: Re: Only for a night (Ethan)   Only for a night (Ethan) EmptyDim 28 Fév - 2:55

ONLY FOR A NIGHT
Ethan and Cosmos

tag you it ✻✻✻ Tu ne sais pas pourquoi faut que tu l'approches, tentation qui doucement empoisonne ton esprit délaissé à l'ennui, effroyable fardeau que tu fuis à tout instant, faut que tu t'amuses. Alors quand, tu le vois, il n'y a qu'une envie qui s'incruste dans le crâne, tu veux jouer avec lui. On le dit corsé, il ne faut pas l'approcher, pas de trop prés en tout cas, il faut toujours rester à l'écart, sauf que ce genre de chose ce n'est pas pour toi, tu marches souvent à l'adrénaline et au plaisir, au jeu et au défi, en voilà un beau qui se présente devant toi.. Alors tu ne pourras pas dire non à celui-ci surtout quand il s'annonce si beau, si tendre sur ta langue, un peu sucré, doux au toucher, petit met qui régale, tu en baves même d’avance. Le cul  s'assoit sur une chaise qui grince, l'autre sursaute et t'as déjà envie de sourire peut-être même de rire, la bouche sort une phrase banale, tu lances ce magnifique jeu. « Je te regarde. » Réponse toute simple pour une question stupide. Tes yeux se plantent dans les siens cherchant les émotions qui pourraient bien s'y refléter tout comme tes oreilles qui se font attentives aux bruits qui sortent de sa gorge. Ses mots étaient sortis subitement comme un réflexe, pourtant la voix n’étaient pas assurée, tu ressens ce petit vrombissement celui qui tire vers les tremblements de la parole. Comme si ça ne suffisait pas, t'en rajoutes, touchant ses mains pour te faire voleur de lecture, tu tournes les pages avec délice, remarquant bien qu'il se détourne de ta superbe, c'est un peu comme s'il tentait de te fuir, mais lui-même doit savoir que ça ne sert à rien. Il est la pauvre proie que tu prends dans tes filets, un truc dont jamais on ne s'échappe jusqu'à ce que ça finisse comme ça te plaise.
Il hoche la tête, à ta seconde remarque, mais son regard toujours sur toi se repose, le venin de corps agit sur son esprit. Beauté envoûtante, t'es bien l'un des enfants de ta mère divine. Il se lève et fracasse tous, maladresse qui fait sourire, il y a même un son qui sort de tes lèvres, un truc qui flotte, un léger rire. Tu ressens l'effet que tu lui fais, ça se sent dans l'atmosphère, tu perturbes un homme normalement si habile. Il ne doit pas avoir l'habitude de détenir ce rôle, celui de la splendide victime, celle que l'on doit croquer. Il se protège de par son attitude, vulgaire protection inutile, tout comme la phrase qu'il sort. « Tu voulais quoi, à part venir me faire chier ? » Ça ne fait qu’agrandir un sourire qui dévoile les dents éclatantes, les notes sont discordantes, la voix tremblante. À ton tour, tu lèves, il est trop loin de toi alors dans ta démarche de prédateur, tu t'approches de ta cible. Tu le pousses d'une main légère contre le mur de pierre « Tu n'en as pas la moindre idée ?» À chaque pas, tu lances un mot, jusqu'à ce que l'espace entre vos deux corps soient minimes, le dernier mot se dit à l’oreille, avec ton souffle chaud qui caresse sa peau et vos deux torses qui se cognent. Tu te retires de son espace vital pour enfin le laisser respirer, t'as l'impression qu'il s'affole. « J’espérais qu'on puisse faire un tas... de choses ». Tu penses à la danse sous les couettes, mais, tout ça, tu le laisses s'en douter, tu laisses planer le doute et les désirs. « Ça t’intéresserait ? » langue qui se promène sur les lèvres avant que l'inférieur se fasse mordre par tes dents. Geste indécent, t’appelles à la luxure. Tu te rapproches à nouveau, les bouches sont trop proches, il est dans tes griffes, t'es le chat et lui ce n'est qu'une  sourie et putain t'as la dalle. « Et ne va pas me mentir »

✻✻✻
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MessageSujet: Re: Only for a night (Ethan)   Only for a night (Ethan) EmptyDim 28 Fév - 3:27

Cosmos & Ethan
“ Je suis embarrassé. ”
T
u l'avais entendu rire. Se foutre de toi. Enfin, t'aurais fait pareil. Si quelqu'un avait stupidement fait tomber sa chaise, tu aurais esquissé un sourire et soupiré. Tu remis la chaise en place, les mains tremblantes, puis serrais tes doigts autour du bois. Cosmos te faisait de l'effet. Un putain d'effet. Tu t'étais tourné vers lui, assis sur une chaise, avais croisé les bras, et lui avais demandé pourquoi il venait te déranger. Ta tête le pensait. Ton corps pensait qu'il était arrivé au bon moment. Qu'il fallait en profiter.

Il te souriait. Il montrait ses dents blanches. Tu déglutis et passais rapidement ta langue sur tes lèvres. Il te faisait ressentir des choses... pas mauvaises, mais inhabituelles. Tu n'avais jamais ressenti de désir face à un autre homme. Tu le savais : il était le fauve, et toi la gazelle. Bien qu'en cet instant, tu n'ai rien de gracieux. Voire d'habile. C'est pourquoi, lorsqu'il se leva et se rapprocha de toi, tu esquissas un pas en arrière. De toute façon, il te poussait déjà contre le mur en pierre. Ta respiration se fit plus rapide, plus saccadée. Tu étais pris au piège. Et merde.

Tu avais voulu secouer la tête, à sa question. Mais tu n'as pas pu. Tu étais trop occupé à le fixer, à sentir son odeur. Une partie de ton cerveau se faisait des films. Elle t'imaginait volontiers embrasser Cosmos. Poser tes mains sur son corps. Pas étonnant, vu comment vous étiez proches. Vu comment il parlait. Ses mots sonnaient comme une douce berceuse dans tes oreilles. Une sorte de sommeil qui t'emparerait, pour que tu puisses te laisser aller. Comme l'alcool, en plus puissant. D'un seul coup, sa voix, son corps, lui tout entier était devenu ta drogue.

Faire un tas de choses ? Tu te mordais la lèvre, fermais les yeux pour te reprendre, bien que ça ne fonctionne pas. Tes sourcils se fronçaient, les bouts pointaient vers le haut, tu essayais en vain de résister. Le feu était de plus en plus ardent. Et, lorsque tu rouvris les yeux, tu vis le beau brun faire comme toi : lécher puis mordre sa lèvre. Ton cœur s'affola. Tes pupilles se dilatèrent. Tes mains se crispèrent contre le mur, puis au rebord d'une étagère, qu'elles agrippèrent. Si ça t'intéressait ? Bien sûr que oui ! Il se rapprocha, et vos bouches furent proches. Trop proches. Ta respiration se coupa, tu louchas sur ses lèvres et ton ventre se creusa. Il parla, et tes yeux retrouvèrent les siens. Ne pas lui mentir. Il se prenait pour qui ? Ton père ?

« Han han. Tu réussissais à couiner, la bouche entrouverte. »

Tu te trouvais ridicule. Han han ? C'était ta manière de dire oui ? Mais il était trop proche. Si tu te rapprochais, vos lèvres se touchaient. Tu avais envie de le faire. Mais tu ne pouvais pas. Putain, on aurait dit Artémis et son vœu de chasteté. Sauf que toi, t'es encore pire. Tu mordillais une nouvelle fois ta lèvre et regardais autour de toi. Comme si un lapin allait surgir et t'aider.

« On se connaît même pas. Tu t'appelles comment ? Tu gémissais en rougissant. »

Tu savais comment il s'appelait. Mais tu ne voulais pas répondre à sa question. Tu ne devais pas lui mentir – depuis quand tu obéissais ? – et si tu disais oui... la suite était facile à deviner. « Vous allez faire une pizza. Murmura ton sarcasme. » C'est ça. Vous alliez faire une pizza.

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MessageSujet: Re: Only for a night (Ethan)   Only for a night (Ethan) EmptyMer 2 Mar - 13:03

ONLY FOR A NIGHT
Ethan and Cosmos

burning desire ✻✻✻Il te semblait un peu faible et fragile, un être de verre que l'une de tes caresses pourrait bien briser, une mosaïque qu'il te faudrait ensuite reconstituer. Tu étais le grand méchant loup qui allait bouffer l'agneau, l'innocence allait bientôt s'envoler de ce monde, dévoré par tes soins. « Han, han » couinement de l'animal blessé, touché par tes flèches qui visent le cœur afin de le saigner, de le purger de la raison et de ces autres choses inutiles qui ne font que limiter l'horizon. Le trouble vrillait sa tête, c'était maintenant une certitude qui te faisait afficher un rictus séducteur, carnassier sur tes lèvres, tes dents se dévoilaient comme si elles étaient enfin prêtes à bouffer ce morceau de viande. N'avait-il pas fermé ces yeux et mordu ses lèvres que l'on voudrait embrasser quelques secondes plus tôt comme s'il voulait s'éveiller d'un rêve ? N'avais-tu pas entendu la difficulté que ressentaient ses poumons pour pouvoir retrouver un rythme normal ? Tu savais que le Winterfell était pris en pleine tempête et qu'il risquait le naufrage, voilà pourquoi il devait se saisir du mobilier qui se trouvait là, de cette étagère qu'il saisissait comme seul point d'ancrage, dans cette pièce qui brûle de tentations et de vices. Ce Han han, c’était une réponse positive à tes avances, il ne t'était même pas permis de penser le contraire malgré le manque évidant de clarté dans ses propos, clarté qui devait sans doute s'évaporer en ta maladive présence. Tu le vis une nouvelle fois se mordre les lèvres avant de regarder autour de lui, comme s'il cherchait désespérément de l'aide, ne c'était-il pas déjà rendu compte qu'il était déjà perdu, que rien n'y personne ne pourra le sortir de cette situation dangereuse si ce n'est lui-même.
« On se connaît même pas. Tu t'appelles comment ? » Toujours cette même intonation gémissante qui te donnait envie de te la repasser en boucle pour pouvoir dormir dessus, c'était une mélodie tellement particulière que tu ne serais t'en passer surtout quand elle possède encore en bruit de fond, des notes masculines, viriles, les derniers vestiges d'un jeune homme qui redevient gosse face à une peur qui le tétanise. Toi, tu étais l'une de ses peurs, tu te faisais démon Asmodée, il ne voulait pas céder, alors il prétendait ne pas te connaître, porte de sortie qu'il entrouvre pour s'échapper, fuir tes crocs et retarder l'inévitable qui viendra malheureusement pour lui à un moment ou un autre.« Tu ne me connais vraiment pas ?! » C'est un petit cri exagéré, une plainte qui retentit, tu veux faire croire que t'a mal. D'un pas, tu recules, ta face se déguise laissant un masque se poser sur tes joues, un air triste qui se plante dans tes yeux, tu parais faussement vexé avec cette bouche qui s'ouvre surprise et cette main que tu plaques violemment contre ta poitrine, figure théâtrale dont tu joues, c'est comme s'il t'avait blessé, poignardé en plein organe de l'amour. Mais tout ça, ce n'est qu'un masque que tu portes que quelques instants avant que tout ne redevienne comme avant : ce léger truc sur les lèvres et ton regard que ne quitte plus le sien, ce regard qui attise ses flammes intérieures, celui qui veux que dans ses veines coulent de la lave pour que ton son être s’embrasse pour toi. Tu mets fin à l'espace qui s'était formé entre vous, tu reprends l'air sain que tu l'avais laissé reprendre, tu dis stop à la pause entre vos deux corps qui de nouveau sont presque là à se toucher. « Tu voudrais vraiment me faire croire que tu ne me connais pas... » Le ton était sérieux mais soufflé au creux de son oreille, «... Je t'avais dit ne pas mentir Ethan » son prénom est murmuré avec mille délices dans ta bouche, tu détaches chaque syllabe pour t'en délecter, comme si elles étaient beaucoup plus que de simples sons, tes deux bras encadrent sont corps en allant s’appuyer contre le mur, le voilà pris au piège. « Mais si tu veux tout savoir, je m'appelle Cosmos.» Tu le susurres. « Tu voudrais savoir quelque chose d'autre sur moi ? Car personnellement, j'ai soif d'apprendre sur tout ce qui pourrait bien se passer entre nous » Tu ne savais même pas s'il se passerait bien quelque chose entre vous, mais le déstabiliser ainsi te faisait déjà prendre du plaisir.

✻✻✻
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MessageSujet: Re: Only for a night (Ethan)   Only for a night (Ethan) EmptyMer 2 Mar - 15:32

Cosmos & Ethan
“ Je suis embarrassé. ”
T
u sursautais en entendant son petit cri. Bien sûr que tu le connaissais, tu voulais juste échapper à son emprise, rien qu'une seconde. Chose, qui ne marchait absolument pas. En voyant son mouvement de recul, sa main sur sa poitrine et sa tête de malheureux, ton cœur se serra une nouvelle fois. Et pourtant, ta tête savait qu'il jouait la comédie. Sa pose était grotesque. Mais ton corps tout entier voulait le serrer contre toi, ou se blottir dans ses bras. L'embrasser, et lui appartenir. Tu déglutissais et serrais l'étagère aussi fort que tu pouvais, en t'infligeant une claque mentale. Bordel, ce n'était pas le moment !

Cosmos laissa tomber le masque, pour reprendre son apparence séductrice. Chose à laquelle, plus le temps passait, tu avais du mal à résister. Il avait décidé de ne plus te quitter du regard. Il réduit une nouvelle fois l'espace entre vos deux corps, venant mêler son souffle au tien. Tes poumons furent une nouvelle fois à court d'oxygène. Tu le fixais, les sourcils légèrement froncés, en essayant de réduire le désir qui te déchirait les entrailles. Bien que ne soit pas du tout la même situation, tu avais l'impression d'être Olya. Olya, quand tu avais pété un plomb. Cosmos était toi. Sans le côté malsain, mais tu détestais que les gens soient aussi proches de toi. Qu'ils empiètent sur ton espace personnel.

Sentir son souffle contre ton oreille te fit frissonner. Tu détestais cette position. Tu pinçais les lèvres et fermais les yeux, avec l'envie folle de le frapper ou de hurler. Tu avais chaud, et ton corps était excité. Il voulait plus, mais pas ta tête. Tu avais juste l'impression qu'il allait te violer sur place. Le pire : tu serais capable d'aimer ça. Un viol consentant, on aurait tout vu. Un gémissement s'échappa de tes lèvres quand il murmura que tu n'aurais pas dû mentir, et que ses bras encadrèrent ton corps. Tu rouvrais les yeux en le regardant. Il fallait l'avouer : tu avais peur. Peur de ce qui allait se passer après. Peur de ce que ton corps voulait.

Vos deux corps collés l'un à l'autre empêchaient ton cœur de battre correctement. Tu lui avais menti, et tu sentais que tu allais le regretter. Cosmos te disait son nom, sans se reculer ou te laisser un peu d'espace. Ses lèvres t'attiraient. Tu voulais l'embrasser, mordre chaque parcelle de sa peau. Tu n'arrêtais pas de penser que tu voulais lui appartenir. Le fils d'Aphrodite te demanda ensuite si tu voulais savoir autre chose sur lui. Il voulait savoir ce qu'il pourrait se passer entre vous ? Tu tentais de reculer, puis constatais bêtement que le mur t'en empêchais. Tu te raclais la gorge.

« Et moi je suis embarrassé. Tu murmurais en rougissant. »

Tu lâchais l'étagère et glissais tes mains entre vos torses, pour le pousser un petit peu. Tu avais besoin de plus d'espace. Ton espace vital. Tes yeux se baissèrent sur tes mains, qui ne voulaient pas lâcher le haut de Cosmos. Okay, t'étais foutu. Une question te brûlait les lèvres. Peut-être qu'après que Cosmos y ait répondu, vous pourriez... soit continuer, soit arrêter. Tu n'en savais rien. Tu sentais juste que tu allais bientôt craquer.

« Pourquoi moi ? »

Pourquoi pas un autre ? Pourquoi toi en particulier ? Toi, si inaccessible, si borné, si froid ? Toi, qui essayais tant bien que mal de lui résister ?

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